• "Une douce lumière, à la fois violée et bleutée se diffusa parmi les  bois sombres

    "Une douce lumière, à la fois violée et bleutée se diffusa parmi les bois sombres. La jeune fille étouffa un cri de surprise. Les yeux grands ouverts, elle se cacha derrière un arbre, la moitié de son visage dépassant du tronc afin d'observer la scène. La petite gardait ses yeux rivés sur un point, un même point : une femme. Mais pas n'importe laquelle, c'était sans doute la plus belle femme qu'Alice n'eut jamais vu de sa courte vie. Comme toutes les fillettes de son âge, elle s'acharner à dire que sa mère était la plus magnifique du monde. Mais là, il lui était impossible de tenir de tels propos.

    La femme qui se baignait dans l'eau du lac, immergée jusqu'aux hanches, était resplendissante. Et le mot était faible. Que se soit par sa grande et fine silhouette féminine, ses longs cheveux d'un violet enchanteur ou sa grâce naturelle, tout en elle était fait pour plaire. Une lueur éblouissante caressait l'eau autour d'elle, l'illuminant. De plus, de petits papillons d'un rose phosphorescent voletaient en harmonie autour de l De là où elle se tenait, Alice avait vu sur le dos nu de l'inconnue. Sa peau était pâle, blanchie par le reflet de l'astre de nuit. De légers reflets violets et bleus parsemaient cette peau d'ivoire tandis que de beaux motifs blancs l'ornaient. Le premier était un croissant composé d'une multitudes de pétales, avec une sorte de fleur au creux de ce dernier. De jolis fils pendaient vers le bas, tenant des flèches et des perles. Se situant entre les omoplates, le motif faisait ensuite place à la colonne vertébrale. Ensuite, au creux des reins se trouvait un cygne vu de profil, de curieuses arabesques se dessinant en lui. Enfin, de par et d'autres, sept petites plumes venaient apporter légèreté au tout.

    Alice n'avait jamais vu de femme tatouées. Ces êtres étaient très rares car les tatouages étaient propres aux dieux eux-mêmes. C'est pourquoi lorsqu'un humain naissait avec ses marques si spéciales, ont disait de lui qu'un morceau de l'âme d'un dieu était enfermé en lui et qu'il était destiné à de grandes choses. Cela était véridique, puisque qu'à chaque fois, l'humain possédait de grands dons de magie et de grandes connaissances.

    La jeune fille étouffa un cri, une main froide venait de rencontrer son épaule. En se retournant, elle tomba nez à nez avec son grand frère. L'homme aux cheveux châtains la fixait, une lueur sévère remplaçant son habituel air joyeux. Les yeux d'Alice fuyaient son regard, sachant très bien qu'elle allait se faire réprimander d'être partie seule en pleine nuit. Il ouvrit la bouche pour parler mais d'un geste vif, la fillette plaqua sa main contre la bouche du jeune homme. Un doigt devant la bouche pour lui intimer le silence, elle désigna le lac, afin d'expliquer à son frère la raison de sa venue. Mais lorsque ses yeux parcoururent l'onde bleuté, ils ne rencontrèrent aucune femme. En revanche, à la place de cette dernière se trouvait un magnifique cygne déployant ses ailes dans la nuit silencieuse."

     

     

    -----------

    Hey ! Voici finalement le premier petit texte/nouvelle ! Bon c'est très court, à la base c'est juste un petit écrit fait en rapport avec le dessin :3 J'ai commencé la nouvelle : L'ombre de la tour du Magicien, il suffit juste que je le finisse x)

     

    La femme est Izalea (je vais mettre son dessin officiel), la déesse mère de ce monde. Elle a d'autres tatouages mais ceux ci ont une signification : le mandala signifie la vie, le monde, l'équilibre de celui-ci qui est maintenu par les dieux, et principalement Izalea et Lassa (les deux dieux principaux). Les fils qui en découle sont là pour rappeler qu'il y a plusieurs choix, plusieurs possibilités dans la vie. Parmi ses fils il y a une flèche qui montre qu'il faut aller de l'avant, que le monde change constamment ; et un signe qui est un talisman de l'amour féminin (le truc avec le losange). Les points/perles montrent les difficultés qu'il faut surmonter. Ensuite c'est plus simple, le cygne est là car c'est le symbole de Tell'Eda, qui est un continent en forme de cygne, donc ça montre qu'Izalea est la mère de ce monde, un des deux créateurs. Et les sept plumes sont à pour les sept enfants d'Izalea et Lassa, les sept créateurs, les sept dieux principaux. Et après le décor c'est juste qu'il me fallait un plan de dos pour dessiner les tatoos. Et les pipillons parce que c'est beau les pipillons x)
    Et le texte parce que je m'ennuyais pendant que le speedpaint chargeait et que j'avais envie d'écrire un pitit truc en rapport avec le dessin. D'ailleurs à la fin, Izalea se transforme en cygne car le cygne c'est sa forme originelle, qu'elle ne montrait que sa forme "humaine" (qui est donc parfaite pour cette raison, les dieux peuvent décider de ce à quoi ils ressemblent). C'est aussi pour ça que sur le dessin de ce texte Izalea à les cheveux lisses et sur son dessin officiel les cheveux ondulés, parce qu'elle fait ce qu'elle veux ! (nan nan pas du tout parce que c'était trop long et galère à faire les cheveux ondulés et que j'ai eu la flemme, je vois pas de quoi vous parlez x) Walà x)
    Ha si, une dernière chose ! Faites pas attention aux fautes, il est 5h j'ai la flemme de corriger x)

    Bon, dites moi ce que vous en pensez, même si ce n'est qu'un petit écrit, je tiens énormément à vos retours puisque ça fait un moment que j'ai pas écrit ^^ Je veux savoir si je suis pas trop rouillée x) Et puis toutes les critiques sont bonnes à prendre et à considérer car rien n'est parfait (à part Izalea bien sur x).


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique